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En ce mois de mai particulièrement riche, tout le monde trouvera son bonheur en séjournant à L’Ouest Hotel. La Foire du Trône bat son plein jusqu'au 28 mai sur la pelouse de Reuilly, les amoureux de la balle jaune ne manqueront rien du tournoi de Roland-Garros (du 22 mai au 11 juin) tandis que les amateurs de peinture se rendront au Louvre pour y admirer l'exposition dédiée à Vermeer jusqu'au 22 mai.

 

Sur la pelouse, la foire

 

Pommes d'amour, auto-tamponneuses, grande roue et tirs à la carabine : nous sommes bien en plein cœur de la Foire du Trône. En ces beaux jours de printemps, l'on se promène entre effluves de barbe à papa, lumières clignotantes, musique tonitruante et, régulièrement, hurlements de joie ou de frayeur. Outre les traditionnels trains fantômes et chenilles qui enchantent toujours autant, certaines attractions sont véritablement ébouriffantes, voire divinement effrayantes ! Entre Power Max et son balancier à 90 km/heure, Star Flyer qui vous fait tourner à 60 mètres de hauteur et Skyfall qui vous fait chuter de 80 mètre à 180 km/heure, le frisson est garanti !

 

15 jours sur la terre battue

 

Le 22 mai, c'est reparti pour une quinzaine de légende, sur la terre battue rouge si chère aux adeptes des surfaces lentes et des longs échanges de fond de cours. Qui cette année emportera le prestigieux trophée ? Novak Djokovic confirmera-t-il son titre de l'an passé, Andy Murray aura-t-il l'occasion de prendre sa revanche ? À moins que Rafael Nadal, Stan Wawrinka ou le toujours très en forme Roger Federer ne viennent brouiller les cartes. Suspens donc à la Porte d'Auteuil. Et que d'émotions au programme. Que de moments intenses à venir alors que déjà la balle claque sur les cordes tendues, que voltige la terre rouge à l'impact, les chaussures glissent, le bras se tend en un coup droit parfait, un lobe, un passing, il recule, il smatche ! Bravo ! Que c'est beau, quel effort, quel... ! Restons bien calme, Roland-Garros, c'est très bientôt !

 

Vermeer : un merveilleux quotidien au Louvre

 

Les trois commissaires réunis autour de cette exposition ont voulu montrer la richesse de ce que l'on appelle la peinture de genre - à savoir celle qui illustre les scènes de la vie quotidienne, et plus particulièrement des scènes d'intérieur dans le cas présent - chez les peintres hollandais de la seconde moitié du XVIIème siècle. Aux côtés du maître du genre, Johannes Vermeer, l'on découvre nombre de ses confrères au talent certain. La Hollande, alors appelée Provinces-Unies, était alors une nation très riche et ses élites, qui semblaient apprécier tout particulièrement ces scènes d'un quotidien magnifié et élégant, apportaient un important soutien financiers aux artistes qui les réalisaient. Attention, il est indispensable de réserver son billet en ligne, faute de n'avoir que très peu de chances d'entrer.